mardi 18 juin 2013

Passer du monde anglo-saxon à celui de la francophonie

La « vue » de mon auberge de jeunesse à Paris
Je n'aurais jamais cru, étant francophone, que le retour à la francophonie après moins de deux semaines pourrait être si éprouvant. Mais admettons-le, essayer de comprendre le métro parisien quand personne ne s'offre pour aider et que tu arrives de Londres ou tout est super bien organisé ainsi que de l'Écosse où les gens sont chaleureux, ça crée un choc.
Le temps était maussade, de même que notre humeur. Ça nous a pris un certain temps, ou plutôt un temps certain avant de se retrouver sur la carte du métro et de repérer la station qui menait à notre auberge de jeunesse dans le onzième arrondissement. 
Honnêtement, à ce moment là du voyage, je n'avais que le goût de trouver un bon lit pour dormir et me remettre de mes émotions. Heureusement, deux amies du Québec nous attendaient à l'auberge. Elles revenaient d'Amsterdam et avaient l'intention de visiter Paris avec nous deux.
Comme nous étions toutes les quatre très fatiguées, nous nous sommes contentées d'un souper léger dans un café du coin où nous avons été servis avec très peu de chaleur humaine (et encore, c'est un euphémisme).
Mon enthousiasme pour la ville lumière était d'ores et déjà très bas. L'avantage, c'est que mon enthousiasme ne pouvait qu'augmenter. Et une autre belle surprise m'attendait le lendemain : la rencontre de Gerja, ma correspondante hollandaise avec qui j'échangeais des courriels et des lettres depuis plusieurs années déjà.

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