mardi 18 juin 2013

Album photo #55

Toutes les photos de l'école militaire et du dôme des invalides :
 

L'école militaire et le dôme des Invalides

Sur notre route vers la tour Eiffel et le champ de mars, nous sommes passées par l'école militaire et le dôme des invalides, tout près. Si les filles qui m'accompagnaient ont semblé enthousiasmées par l'endroit, il m'a laissé plutôt indifférente. Son histoire est pourtant assez intéressante : Louis XIV a inauguré l'endroit pour accueillir les invalides de ses armées. Peut-être était-ce la fatigue du voyage qui commençait à entrer ? J'ai néanmoins pris quelques photos de l'endroit, dont celle de notre groupe qui est l'une de mes préférées : 

Patricia, Stéphanie, moi et Gerja devant le dôme des Invalides

Bâtiments de l'école militaire



Album photo # 54

Toutes les photos de l'Arc de triomphe.

Arc de Triomphe

De façon générale, Stacia et moi avons été extrêmement chanceuses au cours de notre voyage en Europe. Nous avons eu du beau temps presque tout le temps (alors que nous étions en Grande-Bretagne pour la plus longue partie du voyage, je le rappelle...) excepté à Paris, nous n'avons eu aucun pépin majeur, nous avons vu des tonnes de paysages merveilleux et visité plein d'endroits intéressants. Mais s'il est une chose pour laquelle nous n'avons pas été chanceuses, c'est bien pour les échafauds.
Oui, les échafauds. Ils étaient partout, sur presque toutes les icônes de Londres et de Paris que nous désirions photographier. Comme si les deux villes s'étaient entendues pour tout rénover pendant notre visite. L'Arc de triomphe ne faisait pas exception. 
Les échafauds de l'Arc de triomphe, pour faire changement...
De toute façon même si l'arc avait quelques beaux détails architecturaux (comme presque tous les bâtiments de la ville...), ce n'est pas ce qui m'a le plus impressionné lors de cette visite.
Ce sont... les embouteillages autour, bien entendu ! Une chose est certaine : je ne veux jamais me retrouver au volant d'une voiture à Paris, et encore moins autour de l'Arc de Triomphe. C'est définitif. Alors que la majorité des québécois se grattent la tête à la vue d'un simple carrefour giratoire, les Parisiens tournent autour de l'arc et se retrouvent au beau milieu d'un tourbillon dont ils ne savent pas trop quand ils sortiront... Imaginez un Québécois là-dedans maintenant
!
Ouf... Ce simple spectacle m'a divertie pendant la quinzaine de minutes que nous avons passée là. Puis, nous nous avons quitté l'Arc pour un icône non moins célèbre : la tour Eiffel.

Rencontre de Gerja

En ce premier matin de notre visite de Paris, nous avons fait la grasse matinée puisque nous ne devions rencontrer ma correspondante Gerja qu'à dix heures, ce qui était tard par rapport à notre horaire depuis le début du voyage. Je dois avouer que ça a fait du bien, même si j'étais angoissée à l'idée de la rencontrer. 
Vous savez, tous ces et si ? Et si je ne la comprenais pas ? Et si elle ne venait pas ? Et si nous n'avions rien à nous dire ? Mais surtout: et si nous ne nous entendions pas aussi bien en réalité que virtuellement parlant ? À ce moment-là, je n'avais rencontré qu'une seule de mes correspondantes et je dois avouer que l'expérience ne s'était pas révélée très concluante. 
Pour meubler le temps libre dont nous disposions, Stacia, Patricia, Stéphanie et moi sommes allées à l'épicerie du coin faire quelques provisions pour la journée. Nous avions l'intention de faire un pique-nique quelque part afin de ne pas perdre trop du peu de temps dont nous disposions pour visiter la ville. 
Finalement, ma rencontre avec Gerja s'est bien déroulée. Bien entendu, nous étions un peu gênées au début, et nous avons dû nous habituer à nos accents respectifs, mais sinon règle générale, tout s'est bien passé.
Nous avons donc toutes les cinq pris le métro vers notre première destination de la journée : l'Arc de Triomphe. 

Notre groupe en cette première journée à Paris (de gauche à droite):
 Gerja, moi, Stéphanie, Patricia et Stacia

Passer du monde anglo-saxon à celui de la francophonie

La « vue » de mon auberge de jeunesse à Paris
Je n'aurais jamais cru, étant francophone, que le retour à la francophonie après moins de deux semaines pourrait être si éprouvant. Mais admettons-le, essayer de comprendre le métro parisien quand personne ne s'offre pour aider et que tu arrives de Londres ou tout est super bien organisé ainsi que de l'Écosse où les gens sont chaleureux, ça crée un choc.
Le temps était maussade, de même que notre humeur. Ça nous a pris un certain temps, ou plutôt un temps certain avant de se retrouver sur la carte du métro et de repérer la station qui menait à notre auberge de jeunesse dans le onzième arrondissement. 
Honnêtement, à ce moment là du voyage, je n'avais que le goût de trouver un bon lit pour dormir et me remettre de mes émotions. Heureusement, deux amies du Québec nous attendaient à l'auberge. Elles revenaient d'Amsterdam et avaient l'intention de visiter Paris avec nous deux.
Comme nous étions toutes les quatre très fatiguées, nous nous sommes contentées d'un souper léger dans un café du coin où nous avons été servis avec très peu de chaleur humaine (et encore, c'est un euphémisme).
Mon enthousiasme pour la ville lumière était d'ores et déjà très bas. L'avantage, c'est que mon enthousiasme ne pouvait qu'augmenter. Et une autre belle surprise m'attendait le lendemain : la rencontre de Gerja, ma correspondante hollandaise avec qui j'échangeais des courriels et des lettres depuis plusieurs années déjà.

mercredi 5 juin 2013

Dernière journée à Édimbourg

La journée du 30 mai fut plutôt tranquille, puisque c'était notre dernière en Écosse. Nous étions toutes les deux complètement épuisées de notre voyage, et nous avons préféré prendre la journée pour nous reposer un peu afin d'attaquer notre dernière destination avec un peu plus d'énergie.
Nous nous sommes donc levées tard ce matin-là, et nous avons pris tout notre temps. Nous sommes sorties nous promener sans vraiment avoir de but, ne sachant pas trop si nous cherchions un endroit pour déjeuner ou un tour guidé de la ville.
Dernier coup d'oeil sur le château avant de quitter Édimbourg
Finalement, nous nous sommes tout simplement promenées dans les rues de la ville que nous avions entre aperçues le soir précédent à la sortie de notre Mercat Ghost & Ghouls tour. Nous y avons trouvé quelques petites boutiques beaucoup moins touristiques que sur le Royal Mile mais aussi plus intéressantes. Il y avait entre autres une belle petite boutique tenue par un Indien qui vendait de l'artisanat de son pays et d'autres pays des alentours. 
Après notre promenade d'une heure ou deux, nous sommes revenues à l'auberge à temps pour aller prendre l'autobus qui allait nous ramener à l'aéroport. Nous avons ensuite pris notre vol pour Paris avec Easy Jet, un vol sans histoires dont je n'ai à vrai dire aucun souvenir.
J'étais triste de quitter l'Écosse et je dois l'avouer, pas franchement excitée par notre dernier arrêt, Paris. Après les beautés sauvages de l'Écosse, je m'attendais à être déçue par la beauté architecturale de Paris. Ce fut à dire vrai le cas, même si le voyage me réservait encore quelques belles surprises et de bons moments.